La LISTE ROUGE
L’I.U.C.N. (Union internationale pour la Conservation de la Nature) est une ONG d’envergure mondiale dont le siège est en Suisse. Cette organisation s’intéresse principalement à la conservation de la faune et de la flore sauvages. Sa commission de la sauvegarde des espèces est à l’origine de la célèbre Red List des espèces menacées.
Les 400 espèces de psittaciformes figurent sur cette liste et les chiffres fournis par cette organisation sont alarmants. Dans les deux tableaux ci-joints, le détail de différents niveaux de menace de disparition est très révélateur de la tendance actuelle pour la survie de ces espèces.
Dans le premier tableau, 45 % d’espèces sont qualifiées comme prochainement menacées, en danger et éteintes. L’analyse de ces données montre que les espèces endémiques sont très vulnérables et que les activités humaines comme le commerce des espèces, la déforestation, le partage des espaces cultivés et la chasse sont responsables d’une menace sur les effectifs sauvages ; ce qui est démontré par le tableau suivant.
Dans le deuxième tableau qui mesure la tendance des effectifs de chaque espèce dans la nature, 57 % des espèces voient leurs populations décroître à l’état sauvage. Parmi les 35 espèces dont les effectifs sont en augmentation, il convient de signaler quelques espèces qui ont bénéficié de mesures de protection salvatrices dans leurs milieux naturels : Amazona imperialis, Amazona arausiaca, Amazona versicolor, Amazona guildingii, Psittacula eques, Strigops habroptil.
⇧ :35 ⇨ : 128 ⇩ :212
Les 400 espèces de psittaciformes figurent sur cette liste et les chiffres fournis par cette organisation sont alarmants. Dans les deux tableaux ci-joints, le détail de différents niveaux de menace de disparition est très révélateur de la tendance actuelle pour la survie de ces espèces.
Dans le premier tableau, 45 % d’espèces sont qualifiées comme prochainement menacées, en danger et éteintes. L’analyse de ces données montre que les espèces endémiques sont très vulnérables et que les activités humaines comme le commerce des espèces, la déforestation, le partage des espaces cultivés et la chasse sont responsables d’une menace sur les effectifs sauvages ; ce qui est démontré par le tableau suivant.
Dans le deuxième tableau qui mesure la tendance des effectifs de chaque espèce dans la nature, 57 % des espèces voient leurs populations décroître à l’état sauvage. Parmi les 35 espèces dont les effectifs sont en augmentation, il convient de signaler quelques espèces qui ont bénéficié de mesures de protection salvatrices dans leurs milieux naturels : Amazona imperialis, Amazona arausiaca, Amazona versicolor, Amazona guildingii, Psittacula eques, Strigops habroptil.
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